Lettre 7703
Par la grâce de D.ieu,
16 Tamouz 5721,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Na’houm(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 13 Tamouz, avec votre demande de bénédiction qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera.
Me basant sur ce que dit le Likouteï Torah, à la Parchat Bamidbar, page 6b, qui commente l’affirmation de nos Sages selon laquelle : “ Nous n’avons trouvé… que celui-ci ”, je suis très surpris que vous ne datiez pas votre lettre. En effet, les 12 et 13 Tamouz sont des jours propices, introduisant la réparation en tous les domaines pour lesquels celui dont nous célébrons la joie fit don de lui-même. Agir de la sorte est un moyen d’obtenir que soit exaucé le souhait de votre cœur(2), non seulement d’une manière spirituelle, mais aussi pour ce qui concerne vos préoccupations matérielles. C’est bien évident. Avec mes respects et ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles,
Notes
(1) Le Rav N. Travnik, de Kfar ‘Habad. Voir, à ce sujet, la lettre n°4308.
(2) Vraisemblablement le fait d’avoir un enfant.